#13. Special Day ; suite. Ft Avery&Ireland

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SpecialDay. Ireland+Avery+Elizabeth

Il me surprend en répondant par la négative, aucun ne me répond par la négative. Ils sont plutôt content d'habitude, c'est d'ailleurs souvent eux qui m'invitent et non le contraire. « Il faut une première fois à tout. » Oh ça va toi, te la ramène pas. Un sourire en coin apparaît sur mes lèvres lorsqu'il se met a rire et m'explique que non il n'a rien de prévu et qu'il voulait bien, et voilà tu vois qui est-ce qui avait raison ? Je la laisse aller bouder de son côté alors que je prend la route vers l'appartement bien accompagné. Et cette fois en pleine journée, ça change de d'habitude. Je vois déjà d'ici les gros yeux en mode vilaine d'Ireland si elle savait, mais ahah aujourd'hui elle travaille, ou elle est en cours ? Euh... J'uis plus très sûre. En tout cas elle a quelque chose, c'est certain elle m'as dit « à ce soir » ce matin ! Eh ouais pas bête la guêpe. Sa main glisse dans la mienne, je suis surprise mais je le laisse faire je n'ai pas vraiment l'habitude de tout ça. Ohh... J'espère que ce n'est pas un de ceux qui s'attache, sinon ça va être vite fait, je retiens un soupire. Dommage, il est vraiment canon. On arrive pas trop loin de chez moi en discutant de banalités, le chemin passe plus vite. Eh bien oui, pour ce que l'on a en tête pas besoin de chercher très loin. Surtout si il est vraiment du genre a s'attacher, je ne vais pas lui raconter ma vie. Déjà que je n'ai pas l'habitude mais il pourrait prendre ça comme une invitation a rester. Or personne ne reste dans ma vie, enfin en tout cas pas les hommes. Oui, je sais je suis une handicapée sentimentale Ireland me l'a assez répéter. Mais je n'arrive pas à faire autrement, c'est... Trop dur. S'attacher, c'est mal c'est tout. Et personne ne me ferra changer d'avis.Si c'est pour s'attacher et qu'il parte en courant juste après ça ? Non merci. Je préfère m'amuser de ma jeunesse et ne pas me prendre la tête.Eh oui, les garçons sont des prises de tête sur pattes. Ils nous prennent directement la tête «Tu t'attaches trop ! » « Mais tu t'attaches pas !», ils ne savent vraiment pas ce qu'ils veulent ! Mais surtout ce sont la cause de grave disputes entre copines. Combien d'amitié se dissipe a cause d'un mec sérieusement ? Toute mes amies passeront toujours avant un mec. Celui qui ferra changer ça n'est pas encore né, c'est moi qui vous le dit. On monte les escaliers et je cherche les clefs dans mon sac à main, je me mordille la lèvre en réfléchissant. Mouais, dans ces moments la vaut mieux ne pas réfléchir ! La clef tourne dans la serrure, j'attrape son haut pour le rapprocher de moi et pour pouvoir l'embrasser librement, de mon autre main j'arrive à récupérer mes clefs et ouvrir l'appartement. Je l'attire à l'intérieur et referme derrière nous tout en jetant mes affaires superflu, c'est a dire mon sac, mon écharpe, mon bonnet et mon manteau qui vont joncher directement le sol. Et tout ça en continuant de l'embrasser, eh ouais des années d’expérience.

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Elizabeth, Ireland & Avery

⚜ #13. Special Day ; suite

Avery avait osé prendre la main de la jeune demoiselle. Mais il le faisait parce que uniquement il était attiré physiquement par elle. Non pas parce qu’il voulait l’avoir comme petite amie. Il fallait qu’elle se rende bien compte qu’il n’était pas là pour ça. La seule et unique personne avec qu’il pouvait avoir une relation amoureuse était Cece, c’était la seule et l’unique. Mais Elizabeth ne connaissait pas encore très bien Avery, et Avery se voyait mal de lui dire ça, alors qu’il était marié. Bref, c’était une situation plutôt compliqué à dévoiler. Il était content car il avait eu une matinée assez chiante et longue et maintenant il avait une après-midi assez excitante. Une fois arrivée Avery ne remarquait pas que c’est aussi l’appartement d’Ireland, d’ailleurs il n’y avait pas du tout pensé. Il était complètement obnubilé par autre chose. Il monta les escaliers et le jeune homme remarqua que la jeune demoiselle cherchait ses clefs. Avery la voyait de dos et cela l’excitait déjà, car il savait très bien ce qui allait se passer une fois rentré chez elle. Il ne put s’empêcher de se mordiller la lèvre. Ses membres étaient déjà prêts à l’attaquer. Mais ce qu’il ne vit pas venir c’était que la blonde se retourne pour attraper son haut et l’embrasse. Il aurait pu faire le premier pas lui même quand même se disait-il mais il s’en foutait, maintenant il profita de ce moment pour placer ses mains sur la taille de la blonde. Il parcourrait le moindre millimètre de cet endroit. Elle avait mit une jupe et il voulait absolument passer sa main en dessous de celle ci car elle était plutôt courte à vrai dire. Une fois qu’elle réussit à ouvrir l’appartement elle jeta ses affaires par terres et le jeune homme ne pu s’empêcher de la coller gentiment au mur et de se coller à elle tout en continuant de l’embrasser. Voilà il était excité comme jamais et il se doutait bien que vu la proximité qu’il avait elle le sentait. Il passa alors sa main en dessous de son haut dans son dos et commença des caresses. Puis il l’embrassa dans le cou.

Avery était parti dans son élan et jamais il ne pensait que cela s’arrêtait, c’était trop bon. Ses lèvres étaient juste assez pulpeuse pour qu’il puisse les attraper fermement et doucement et sa peau assez douce et parfumer que pour qu’il s’en lasse pas. Mais voilà qu’il entendit qu’une troisième personne était présente dans la pièce et ce n’était définitivement pas un animal. Il recula un peu gêné et se retourna. C’était Ireland. Il ravala sa salive et était juste sans voix.

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Special Day

ft. Liz & Avery

Ma journée de cours avait été plutôt courte. La moitié de mes profs ont due annuler leur classe pour cause d’une manifestation imprévue, dont je ne sais plus vraiment les motivations. Mais c’était des heures en moins bienvenue pour moi, je manquais énormément de sommeil, et j’étais en retard dans mes travaux à rendre, tellement que je pouvais constater les dossiers qui s’empilaient sur le côté de mon bureau. En rentrant, je pris mon ordinateur et profitai du silence qui régnait dans l’appartement pour me poser au bar de la cuisine, pour travailler tout en grignotant un encas. En regardant l’heure je me suis rendu compte que j’avais 3 petites heures avant de devoir partir pour travailler, ce n’était absolument pas le moment de faire une pause. Je mis mes écouteurs, lançai une playlist des plus grands classiques tels que Vivaldi, Mozart, Beethoven et Bach et me mis à travailler. En attendant le prélude de la première suite pour violoncelle seul de Bach, je me mis à sourire en me rappelant le moment où Elizabeth m’avait surprise pour la première fois écouter du classique, c’était cette musique qui passée en boucle et elle s’était carrément foutue de moi. Elle ne comprenait pas comment je pouvais écouter de telle musique, et de qu’elle manière elles arrivaient à m’apaiser, ce n’est pas comme si j’étais une grande musicienne. Concentrée dans mes pensées et dans mes devoirs, je ne réalisais pas encore que quelqu’un essayais de rentrer mais échoué malheureusement à rentrer ses clés dans la serrure. Ce n’est qu’en enlevant mes écouteurs pour aller me resservir une tasse de café que j’entendis la porte s’ouvrir et deux personnes rentrer, qui me semblaient d’ailleurs plutôt occupés à leurs tâches. Je savais qu’il s’agissait de Liz, et elle m’avait récemment parlé d’un garçon qui l’attirait énormément. C’est donc naturellement que j’ai pensé qu’il s’agissait de lui. Je me retenais de les déranger pendant un moment mais si je ne leur signaler pas ma présence, pressés de se sauter dessus comme les bruits me laisser le présager il allait fait ça sur le canapé, à quelques pas de moi, et je vous assure que je n’ai rien de voyeur et que ça ne m’enchante pas vraiment de voir ma colocataire dans son intimité la plus totale. Je mis un moment avant de décider de quelle manière j’allais leur faire part de ma présence. Taper du pied ? Tousser ? Simplement dire « Bonjour » ? Finalement je sortis de la cuisine. L’homme était de dos et ce n’étais pas du tout l’idée de corpulence que je m’étais fait de, comment s’appelait-il déjà ? Nathaniel ? Liz était face à moi, mais tellement concentrée dans ses actions qu’elle ne m’avait pas vu. Appuyé contre le mur, je fis exprès de faire le plus de bruit possible on m’avançant, et finis par dire « Excusez-moi de vous déranger, mais Liz, ce n’est pas vraiment une action à laquelle j’ai envie d’assister » dis-je amusé avec un sourire aux lèvres. Puis l’homme se retourna, et je pus reconnaître Avery. Avery Scott. Je ne sais absolument pas qu’elle tête j’ai dû avoir à ce moment-là, mais si je pouvais effacer cette image de ma tête immédiatement et ne plus jamais m’en rappeler je le ferais avec le plus grand plaisir du monde entier. « Avery ? Toi ? Avec Liz ? Wow, je. Wow. Je vais vous laisser à vos affaires. » Et je réussi à dire tout ça avec un sourire crispé aux lèvres. C’était trop pour moi à digérer, je fis donc demi-tour, pris mes affaires et alla dans ma chambre. Je ne sais pas comment je vais pouvoir travailler après avoir vu avec qui Liz s’apprêtait avec avoir une relation sexuelle intense, mais il le fallait.

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SpecialDay. Ireland+Avery+Elizabeth

Il me pousse contre le mur et passe ses mains sous mon haut, je souris contre ses lèvres. Il était surement plus pressé que moi et ça me faisait marrer, surtout qu'au départ il était censé avoir des trucs de prévu. Mais bon ! Nos langues dansant ensemble je n'avais pas fait de suite attention a ma colocataire qui était rentrée plus tôt que prévue. Je sursaute en entendant le son de sa voix s’élever d'ailleurs. Je finis par sourire comprenant tout a fait mon amie. J'ouvre la bouche pour m'excuser au même moment où Avery me lâche pour faire face à Ireland et la franchement, je ne sais pas lequel des deux est le plus surpris. Et si la situation n'était pas si gênante j'aurais ris de leur tête clairement. Je fronce les sourcils en fixant ma coloc' quoi ?! Ils se connaissent ? Oh merde. Et vu la tête d'Ireland je viens de faire une grosse connerie, mais pour ma défense je ne pouvais pas savoir. Bah c'est vrai hein ! Je me sens super mal du coup, et de la voir partir m'enfonce dans ce sentiment. J'attrape mes affaires que j'ai laissé par terre pour les lancer sur le canapé. Je me tourne vers Avery en haussant un sourcil. « Vous vous connaissez ?! » Je n'avais jamais entendu son prénom sortant de la bouche de ma copine, c'est pour ça que je suis autant surprise. En l'entendant se présenter j'aurais peut-être pu faire le rapprochement et lui demander mais la... « Je suis désolée, je ne savais pas. » Je ne sais pas si c'est vraiment a moi de m'excuser au fond. Mais je préfère car je ne sais pas quels sont leur rapport. Et puis, c'est un peu de ma faute quand même, je n'avais qu'a me contenter d'un café au bar aussi ! La prochaine fois Lizzie tu la fermes et tu prends un café ! Franchement, j'dois avoir le chic pour mettre les pieds dans le plat quoi... Bon, va falloir que je me rattrape, elle était partie s'enfermer dans sa chambre quand même !! D'ailleurs, ça veut dire quoi ça ?! C'est qui ce mec, qu'est ce qu'il lui a fait ? Et voilà que je me voyais lui prendre la tête alors qu'il y a, a peine dix minutes j'étais prête a le violer sur place. Franchement Liz' fait toi soigner quoi tu fais flipper ma vieille.

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Elizabeth, Ireland & Avery

⚜ #13. Special Day ; suite

La situation dégénérait, jamais Avery ne s’était senti aussi honteux. Il enchainait des filles et en plus elles habitaient ensemble. Il savait qu’il ne pouvait pas avoir une mauvaise réputation car celui-ci est un garçon, mais s’il avait été une fille, on lui aurait déjà jeté la pierre. Même s’il pensait que c’était peut-être ce qui allait lui arriver au moment même. « Excusez moi de vous déranger, mais Liz, ce n’est pas vraiment une action à laquelle j’ai envie d’assister. » avait affirmer Ireland avant que le jeune homme ne se retourne. «Avery ? Toi ? Avec Liz ? Wow, je, Wow. Je vais vous laisser à vos affaires. ». Ce n’était pas ce que voulait Avery. Il n’avait ni envie que l’action dans laquelle il était prit continue, ni que Ireland le laisse dans ses affaires avec Liz. Le jeune homme avait parfois dû mal à vraiment dire ce qu’il voulait et ressentait exactement. Il aurait voulu que des mots sortent de sa bouche, mais rien. Car toutes les excuses sont bonnes mais ne remplacera jamais le fait qu’il avait blessé Ireland.

A ce moment là, Elizabeth et le jeune homme s’éloignaient l’un de l’autre pour se lâcher et se rhabiller un peu. La jeune fille attrapa ses affaires qu’elle avait laissées par terre pour les mettre sur le canapé et se tourna vers le jeune homme. « Vous, vous connaissez ? ». En posant cette question, le jeune homme se demandait comment était-ce possible qu’il n’avait jamais rencontré l’amie d’Ireland ? « Je suis désolée, je ne savais pas. ».

Le jeune homme savait que c’était à lui de s’excuser mais pour lui il n’y avait rien à dire. Il passait sa main sur sa lèvre et commençait à la mordiller. « Je… Je ne sais pas quoi dire. Ireland, je suis désolée moi aussi. » Mais au fond il aurait du s’excuser auprès des deux filles non ? « Elizabeth aussi je suis désolée, je vous ai mise dans l’embarras. » Mais au fond, est-ce que Liz savait-elle vraiment de quoi s’agitait-il ? Ou était-elle juste désolée parce que Ireland les avait prit en flagrant délit, et surtout avec quelqu’un qu’elle connaissait. « Liz, on se connaît Ireland et moi, j’habitais à New-York auparavant. » dit-il doucement tout en continuant à être dans une position très mal à l’aise. Il ne savait pas où se mettre. Il aurait bien commencé à tout expliquer mais cette phrase était suffisante pour que la jeune femme comprenne qu’ils étaient amis, et peut-être pas seulement amis, depuis longtemps.

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Special Day

ft. Liz & Avery

En partant m’enfoncer dans mes pensées au fin fond de ma chambre, j’entendis Avery dire « Je … Je ne sais pas quoi dire. Ireland, je suis désolé moi aussi ». On était deux à ne pas savoir quoi dire, c’était déjà pas mal, on se regroupait au moins sur un point. J’étais rebutée, mais j’avais quand même envie de savoir se qu’il allait se passer après que je sois sortit de la pièce. Je n’en voulais pas du tout à Elizabeth, je ne pouvais m’empêcher de penser qu’elle n’avait aucun moyen de savoir que lui et moi avions un passé commun, mais alors même qu’Avery était dans la même situation je ressentais une certaine amertume envers lui. Toutes mes émotions s’entrechoquent, et je sais que je dois retourner dans le salon, les affronter, expliquer à Elizabeth le malaise, et arrêter de faire l’enfant. On est tous les trois des adultes, émancipés et responsables. J’ai arrêté d’écouter se qu’ils se disaient, se qu’ils faisaient. Pendant quinze bonnes minutes je me suis perdue dans mes pensées, me demandant quoi leur dire et surtout retenant mes larmes. Sur un coup de tête, je me suis relevée, et je suis partie dans la direction qui mène vers le salon. A mon retour, ils étaient tous les deux assis sur le canapé, habillé pour mon plus grand plaisir, en train de discuter. Silencieusement, je fis un détour dans la cuisine pour attraper des verres à pied et une bouteille de vin blanc. Ils m’ont entendus revenir vers eux, et je vu le faible sourire sur les lèvres de Liz, je sentais à quelle point elle était désolé. Je déposai les verres devant eux, et ouvrit la bouteille dans le plus grand silence avant de leur faire chacun un signe de la tête, afin de savoir s’ils désiraient un verre ou pas. Je rempli les trois verres d’une dose plus grande que nécessaire et m’assis devant eux. « Je suis désolé d’avoir réagit de la sorte » dis-je en m’adressant plus à Elizabeth qu’à Avery. J’avais encore du mal à la regarder dans les yeux. Dès que je posais les yeux sur une partie de son corps je l’imaginais nu, dans les bras de ma colocataire, et c’est très perturbant. « Elizabeth. Avery est l’homme dont je t’ai parlé … De New-York. » Je pense que depuis que je me suis éclipsé il avait déjà du lui dire la nature de notre relation, du moins j’espérais car je ne savais même pas comment je pourrais définir se qui s’était passé entre nous. La panique commençait à m’envahir doucement, j’avais besoin de boire, et de tout débiter pour me sentir légère et avoir le poids de ce malaise en moins sur mes épaules. Mais, je n’aurais pas étais moi-même si je n’avais pas essayé de tout faire en même temps pour m’en débarrasser plus vite. Alors que je pris mon verre en main, et en bus une gorgée, des mots sont sortit de ma bouche, et la plupart du liquide sortit d’une manière pas élégante du tout d’entre mes lèvres. Je me suis levé en précipitation, et essuya le liquide sur mes habits. Quand j’eu finis, je me suis rassise, et je me suis promis de ne plus rien toucher jusqu’à la fin de cette conversation gênante.

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SpecialDay. Ireland+Avery+Elizabeth

On finit assis sur le canapé, auquel je destiné une toute autre fonction mais bon. Je l'écoute m'expliquer la situation, enfin un minimum on ne se connaît pas au final et je comprend qu'il ne veuille pas se confier. Ce n'est pas parce qu'il a surement couché avec ta coloc' et failli avec que toi que c'est ton ami ! Bref, je n'avais qu'une envie c'était d'aller réconforter mon amie peu importe la raison de sa réaction, elle en avait surement une en béton, c'est Ireland quoi. Je sais qu'on aurait fini dans sa chambre avec le pot de nutella a descendre n'importe quel mec. Bon pour le coup ça aurait été Avery ce soir. Fallait pas être la monsieur, mauvais endroit au mauvais moment !! Ou alors, du vin ! Ouaiiis, à cet instant précis j'avais plus envie d'alcool que de nutella et pourtant c'est dire le nutella est mon amant depuis toujours. Et vous savez quoi ? J'aime ma coloc putain ! Elle reviens d'elle-même vers nous avec une bouteille et des verres. Ireland Barnes, épouse moi !! Bon, bien sûr ça m’empêche pas de me sentir super mal pour ce que j'ai failli faire ne vous méprenez pas. Fallait juste que j'extérioriose mon amour pour ma copine ! New-York hein ? J'étais loin de m'imaginer que le monde était si petit... Maintenant qu'ils le disent, bien sur qu'elle m'en a parler. Je suis vraiment pas cool comme pote, je ne voudrais pas de moi comme amie. Si Ireland décide de plus me parler pendant disons... Deux jours je comprendrais. Bin ouais pas plus attendez après j'vais me sentir trop seule tout le temps. Déjà deux jours c'est super long, vous vous rendez pas compte vous ! J'attrape mon verre. « Merci. Oui, je comprend mieux du coup. » D'ailleurs... Est ce que vous avez remarquez aussi les deux "Elizabeth", ouais moi aussi. Mon dieu c'est vraiment la panique a bord !! Ireland m'en veux grave, elle ne m’appelle jamais comme ça, juste pour me défoncer quand j'fais une connerie, peut-être un peu trop souvent soit-dit en passant. Ouais, je le sais et je ne fais rien ? Non, je n'ai aucun soucis, j'adore ce côté surprotecteur qu'elle a avec moi, bien que ça devrait être le contraire vu que je suis la plus âgée. Mais qu'est ce que vous voulez que je vous dise ? Je n'ai jamais vraiment eu ce côté surprotecteur familial depuis que mon père est parti. Et je crois que j'en abuse avec elle, sûrement même. Mais passons, on est pas la pour parler de moi. Je les regarde tout les deux chacun leur tour en sirotant mon verre. Qui je tiens a le dire, fais un bien fou. Est-ce que je devrais les laisser se retrouver tranquille en m’éclipsant ? Ou alors rester pour sauver Avery d'une probable attaque d'une Ireland déchaînée ? A moins que l'attaque soit pour moi et j'aurais l'air juste d'une idiote d'être restée pour un mec alors que c'est moi qui vais mourir. Mais non, elle m'aime trop pour me tuer. Ouais, va y rassure toi Liz va.

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Elizabeth, Ireland & Avery

⚜ #13. Special Day ; suite

Avery s’était assis sur le canapé à côté de Elizabeth en attendant Ireland. Ils discutaient tranquillement. Cela se voyait Liz avait envie de réconforter son amie et elle ne savait pas très bien quoi dire au jeune homme et lui non plus d’ailleurs. Ils étaient un peu gênés tous les deux ! Heureusement qu’Ireland était vite revenue avec des verres à pied et une bouteille de vin blanc. Avery se disait qu’il aimait tous les alcools au final. Elle déposait ses verres devant eux et ouvrit la bouteille. Le silence régnait dans la pièce ce qui montrait à quel point ils étaient tous très gêné et pas insensible à la situation qu’il venait de se produire. Quand la jeune blonde demandait d’un signe de tête si Avery voulait un verre, il répondait affirmatif. Une fois servi, Avery prit le verre et bu une petite gorgé. Finalement ce fut Ireland elle-même qui brisait ce silence. « Je suis désolé d’avoir réagit de la sorte. » Avery n’aimait pas le fait qu’il ait mis Ireland dans cette situation. Il repensait à la soirée où ils s’étaient retrouvés à Omaha, elle avait été tellement parfaite et il se demandait comment il avait pu lui faire ça ? Il ne savait pas très bien. « Elizabeth, Avery est l’homme dont je t’ai parlé... De New-York. ». La jeune femme répondait de suite « Merci. Oui je comprends mieux du coup. » Mais Avery ne se sentait pas à sa place à ce moment précis. « Les filles, je suis vraiment désolé de vous avoir mise dans cette position. Est-ce qu’on peut tout oublier et faire comme si ce qui c’était passé n’était jamais arrivé ? » Dit-il en regardant son verre. Il n’osait pas les regarder en face. Il avait beau faire croire qu’il était grand et fort, il avait toujours ces moments de faiblesse et aujourd’hui en était un. « Je tiens à vous deux. Ireland tu sais après tout ce qu’on a vécut ? Et Elizabeth, je t’ai rencontré aujourd’hui, mais je ne veux pas que cela créer des problèmes entre vous, puisque vous êtes colocataires et presque mes voisines ! ». Il relevait la tête, en espérant qu’elles écoutaient ce qu’il disait et finissait son verre de vin blanc. « Je peux en ravoir un peu Ireland s’il te plait ? » demanda-t-il car Ireland tenait toujours la bouteille de vin.

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» #16 Sex without love is a meaningless experience ❉ Avery & Ireland
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#13. Special Day ; suite. Ft Avery&Ireland

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