AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
BIENVENUE SUR UPSIDE DOWN
Nous sommes heureux de vous accueillir et espérons que vous vous plairez à Brisbane.
En cas de question ou de problème n'hésitez pas à contacter Mitch & uc. Elles se feront un plaisir de vous répondre!♥
FUN SUR FUN FUN
Chez nous, la règle numéro une, c'est l'amusement et le respect.Vendez-nous du rêve avec des personnages haut en couleur. Amusez-vous !!♥
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Partagez
 

 hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyDim 30 Nov - 23:27

CREDIT : 50SHADES/TUMBLR

It's what you do, it's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
It's where we go, it's where we'll be
I know if I'm onto you, I'm onto you
Onto you, you must be on to me
My haunted lungs, ghost in the sheets, ☆ beyonce.

≈ ≈ ≈
Mon réveil sonna, me sortant du sommeil agité dans lequel je me trouvais depuis à peine cinq heures. Nous étions lundi matin. Lundi foutu matin. Complètement groggy, et surtout, de mauvaise humeur, je fis taire la radio qui annonçait une journée radieuse et nous souhaitait une bonne semaine. Pour moi, ce jour sonnait le glas de ma fin de carrière, et surtout, mon retour dans les quartiers louches à chercher de la drogue. Je me traînai sous la douche, laissant mes pensées vagabonder, j'étais préoccupée, très préoccupée. Depuis vendredi soir, je ne pensais plus qu'à lui, à cette nuit. Quelle connerie. Je ne cessais d'allumer mon téléphone et de chercher son numéro de cellulaire, mais à quoi bon appeler son patron pour s'excuser de l'avoir laissé vous sauter dessus ? C'était idiot. Et irrationnel. Alors chaque fois, j'avais reposé mon appareil, repoussé toutes ces pensées et m'était défoulée en fumant cigarettes sur cigarettes. Sous la douche, je repensais encore à cette nuit, me remémorant ses gestes, son souffle - bien que chargé en alcool -à cette pensée, un frisson me parcourut. J'avais honte de repenser à cela de cette façon, parce que je me dégoûtais. Comment avais-je pu être aussi peu réfléchie ? J'avais laissé mon attirance parler et m'était emportée, me laissant emmener jusque dans ses draps, pendant des heures. Je fus ramenée sur Terre lorsque l’eau commença à se refroidir, m’indiquant que j’étais sous le jet depuis bien trop longtemps, et aussi, que j’allais être en retard au bureau. Je me laissai porter jusqu’à ma penderie, choisissant une robe cintrée et classique, bleue marine, m’arrivant à mi-cuisses, j’enfilai mes sous-vêtements et les collants, essayant d’aller à un rythme plus soutenu. J’allai me verser une tasse de café, toujours de mon air perdu, je n’avais plus que quelques minutes pour me maquiller et essayer de dompter mes cheveux encore humides. J’eus bien du mal à tout faire en même temps, je tenais le sèche-cheveux tout en me mettant du rouge à lèvres, je fus étonnée moi-même de ne pas m’en mettre sur les joues, à croire que je n’étais pas si maladroite au final. Ce n’est que lorsque j’arrivai au mascara que je me maudis d’avoir osé penser cela, cette fois, j’étais définitivement en retard après avoir passé cinq minutes à sécher mes larmes. J’avais tendance à être très peu attentive et à oublier rapidement combien la brosse de mascara était une arme dangereuse. Lorsque je fus enfin dehors, je me dirigeai vers ma voiture dans laquelle j’avais investi peu après avoir obtenu ce travail, le salaire me permettant de m’offrir ce genre de matériel. Le trajet ne fût pas long jusqu’à Ludsen Pharm Inc, mais j’étais déjà en retard et rien n’y changerait. J’espérais simplement que Bryan Ludsen ne serait pas encore là. Ce qui était sûrement peine perdue. Dans l’ascenseur remontant du parking souterrain, je m’inspectai, j’avais une mine terrible, des cernes trônaient sous mes yeux, mon mascara n’était pas symétrique, ma robe s’était remontée pendant ma conduite, et mes cheveux partaient dans tous les sens. J’étais tout simplement une véritable catastrophe. Lorsque je sortis de l’ascenseur, je demandai à la réceptionniste si le patron était là, bien entendu, il l’était. Je me fis la plus discrète possible, mais à peine avais-je posé mon manteau dans le placard derrière mon bureau que le téléphone sonna, la lumière m’indiqua directement que la réceptionniste était bien formée et avait sûrement reçu pour ordre de mettre au courant monsieur le PDG de mon arrivée. Je pris tout de même la peine de décrocher, sa voix froide se fit entendre directement. "Je vous attends dans mon bureau, tout de suite." Il raccrocha derechef, cela s’annonçait mal. Non seulement j’avais couché avec mon patron, mais en plus, j’arrivai en retard le jour suivant. Enfin techniquement parlant, puisque le week-end s’était en réalité imposé entre nos ébats et nos retrouvailles. Ce qui n’était pas plus mal. Je soufflai lourdement et m’avançai d’un pas lent, me sentant comme si j’allais monter à la guillotine. Je restai quelques secondes devant la porte, puis me rendis compte que j’étais observée, j’avais l’air étrange, et cela n’était pas dans mes habitudes de rester plantée là. Je frappai un coup, et ouvris la porte, prête à recevoir ma punition. Je me mordis la lèvre à cette pensée, le découvrant pour la première fois depuis que je m’étais endormie à son côté.


Dernière édition par Jamie-Jane Hatcher le Jeu 4 Déc - 14:43, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyLun 1 Déc - 2:17


king and lionheart
ft. Jamie & Bryan
Le parfum mielleux de Jamie traîne encore dans ses draps, malgré le fait qu’elle y soit passée il y a de ça deux jours. Laver ses draps aurait été la plus facile solution pour ne plus penser à la chaleur de leur corps, la douceur de ses lèvres. Foutue connerie. Son cœur est pris depuis des années, mais elle est la seule à laisse une place tangible dans son lit, dans son esprit. De l’amour? Surement pas. Il y a pourtant quelque chose. Quelque chose de plus qu’avec les autres femmes qui ont eu le loisir de se perdre contre les coups de bassins insistants de Bryan. Hatcher est une femme intelligente et diablement tentante. Il le sait depuis qu’il a pu poser son regard sur elle. Un verre de trop. Un de trop pour qu’il franchisse cette ligne étroite qui les sépare depuis son arrivée à la tête de la compagnie. S’il est froid avec elle, c’est parce qu’il préfère la garder loin de lui plutôt que de se perdre contre ses lèvres pulpeuses.
Il se lève rapidement des draps. Son sommeil n’est que peu récupérateur depuis que ses pensées sont envahies par les quelques femmes qui traînent dans sa vie. Bethy. Ce fantôme du passé qui hante encore pourtant son cœur, gardant cette place de choix au chaud, mais qui lui refuse depuis toujours et Jamie. Jamie. Il se doit de remettre les pendules à l’heure, d’ajuster le jeu pour que les règles soient claires. C’est pourtant son bas-ventre qui parle à chaque fois qu’elle entre dans son bureau parfaitement moulée dans une robe, qu’elle lui parle et qu’elle bouge sensuellement ses lèvres sans s’en rendre compte ou qu’elle échappe quelque chose part terre et qu’il doit se faire violence pour ne pas lorgner sur ses formes. C’est impensable de la renvoyer seulement parce qu’elle attise ses envies viscérales de la prendre sur son bureau sans la moindre retenue. Parce qu’elle est brillante. Ses phalanges arrachent les draps de son lit qu’il lance directement dans la machine à laver. Il ne peut plus supporter son odeur délicieusement sucrée.
Une douche froide s’impose, question de remettre en place les idées insidieuses qui se percutent dans son esprit et qui concernent son assistante. Il laisse son corps se traîner jusqu’à la douche où il se submerge pour remettre à zéro ses pulsions masculines. C’est efficace, mais pour combien de temps? Il n’en sait rien. Il enfile alors un des complets qui trône dans son énorme garde-robe méticuleusement rangée et il se met en route vers son travail. Il se demande encore comment vont se dérouler les choses. C’est la première fois qu’il laisse une femme dormir chez lui. Qu’il ne la jette pas au beau milieu de la nuit parce qu’il en a marre.
Plusieurs raisons justifient son comportement.
Il n’en avait simplement pas ressenti l’envie et parce que le malaise serait encore plus grand s’il se comportait comme le dernier des salauds. Il est le précurseur de cette situation et se doit d’agir correctement.

Il arrive sur place et se dirige directement vers la secrétaire qui s’occupe de la majeure partie des paperasses insignifiantes. Elle sourit. Il est froid, bien plus qu’il ne le veut réellement. Il est pourtant un patron juste avec ses employés, à l’écoute, avenant, mais il a des défauts. « Veillez m’avertir lorsque mademoiselle Hatcher sera arrivée. Merci Sherley.» Sa voix se fait ferme, mais il ne contrôle rien. Sa vie est en train de foutre le camp depuis une semaine. Son père sur le point de mourir. Beatriz qui se décide à apparaître après deux ans de silence et cette connerie.
Il serait plus logique qu’il regrette cette nuit, plutôt que d’avoir envie de la renouveler. « Bordel.» Il chasse les pensées investigatrices de son désir avant de se mettre en marche pour monter les multiples étages qui mènent à son bureau. Ce bureau. Il l’aime. Il respire encore l’odeur de son paternel. La décoration est presque la même qu’à son arrivée, sauf le fait qu’il a modernisé le tout. Les vitres donnent sur une vue imprenable sur la petite ville. C’est surement un des plus hauts buildings du centre-ville, puisque le commerce commence à s’étendre bien plus loin que sa ville natale. Il aurait pu migrer dans une ville plus grande, mais il n’en ressentait pas le besoin.
Il se pose à son bureau afin de commencer à remplir quelques papiers qu’il tardait à compléter. Son téléphone sonne, bien plus tard, et il décroche pour entendre le son de la voix de sa secrétaire qui lui annonce que Hatcher est arrivée. Il compose rapidement son numéro. « Je vous attends dans mon bureau, tout de suite.» Son intention réelle est de parler avec elle, mais il ne sait pourtant pas comment aborder les choses. Après un instant, il voit la silhouette fine de la demoiselle se dessiner devant la porte. Bryan lève le regard, l’observant à travers la vitre de sa porte. Vitre opaque, mais qui laisse deviner les formes. La brune finit par ouvrir la porte et ses iris céruléens se posent sur elle. Superbe idée de porter une robe parce qu’il ne peut s’empêcher de lorgner rapidement sur ses formes avant d’atteindre son visage. « Vous comptez rester planter là longtemps Hatcher?» C’est sa façon de lui parler depuis longtemps. Bryan a tendance à être direct et expéditif. Ses employés sont parfaitement conscients de son comportement.
S’il avait l’intention de remettre les pendules à l’heure, il ne sait pas quoi dire alors qu’elle se trouve devant lui. Bryan détourne rapidement le regard parce qu’il a du mal à ne pas penser à cette soirée. C’est trop récent pour oublier cet ébat. Il soupire. C’est plus fort que lui. C’est en train de le rendre fou. Il tourne autour du pot et ça ne lui ressemble pas. Il attend qu’elle prenne place sur la chaise devant lui et réunit quelques dossiers pour les tendre vers la brune. S’il semble serein, ce n’est pourtant pas le cas. « J’ai des dossiers importants à vous remettre qui doivent être traités dans la journée. C’est des futurs investisseurs. C’est important alors j’espère que vous serez à la hauteur, mademoiselle Hatcher. J’ai des réunions en rapport avec un nouveau produit pour un médecin qui est venu faire affaire avec nous, alors je voulais vous laisser ça entre les mains. » C’est surement la première fois qu’il lui donne quelque chose d’aussi important et ce n’est pas parce qu’il a pu passer entre ses cuisses, mais parce qu’il a du mal à se concentrer depuis une semaine et il ne peut se permettre de faire fausse route en négociation. Elle attrape les dossiers. Leurs mains se touchent et c’est surement ce qui vient troubler le plus son esprit. Foutu bordel dans son crâne. Les souvenirs de ses lèvres arpentant sa peau laiteuse apparaissent en trame visuelle dans le fond de son crâne. C’est parfait. Simplement parfait.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyLun 1 Déc - 16:09

CREDIT : 50SHADES/TUMBLR

It's what you do, it's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
It's where we go, it's where we'll be
I know if I'm onto you, I'm onto you
Onto you, you must be on to me
My haunted lungs, ghost in the sheets, ☆ beyonce.

≈ ≈ ≈
Il était tout simplement fabuleux, son bureau. Épuré, très lumineux, vaste, avec une vue imprenable sur la jolie ville d'Omaha. Ce bureau m'avait toujours fasciné, depuis mon arrivée ici, je me faisais chaque fois une joie immense d'y pénétrer, de pouvoir apercevoir ne serait-ce que brièvement les hauteurs du centre-ville, respirer cet air agréable, m'imprégner de cette lueur. Aujourd'hui, j'étais beaucoup plus subjuguée par son occupant que par le bureau en lui-même. Depuis un an, je ne feignais plus que m'intéresser à la vue, tant mon regard était irrémédiablement attiré par le charme de son propriétaire. Bryan Ludsen. Le plus étonnant dans toute cette histoire était qu'il n'était pas du tout mon genre d'hommes, à dire vrai, je ne savais même pas si j'avais un genre d'hommes, mais je ne m'étais encore jamais intéressée de près ou de loin aux hommes froids, riches et classieux. Mais je ne l'avais pas contrôlé, mon regard s'était accroché à lui, la première fois. Durant ma première année dans cette compagnie, il m'avait été plus facile de l'éviter, ne travaillant pas pour lui, je ne le voyais que faire de simples aller-retour dans le bureau de son père, quelques fois. Il ne m'adressait jamais un regard, mais le mien ne se détachait jamais de lui. Ce fût lorsque son père tomba malade que cela se compliqua, il prit la tête, et moi, je la perdis. J'étais d'habitude quelqu'un de maladroit, mais devant lui, je perdais souvent complètement mes moyens, me retrouvant à devoir me baisser sans arrêt pour ramasser ce que je faisais tomber, souvent dans des positions délicates pour cause de robes trop serrées. Il me prenait sûrement pour une gourde, une empotée. Et c’est l’image que je reflétais malheureusement, j’espérais au moins qu’il était satisfait de mon travail. A défaut de le satisfaire dans un autre domaine. Je secouai la tête à cette pensée, qu’est-ce qu’il me prenait ? Je n’avais pas le droit de penser de choses pareilles, je risquais ma carrière. Non cela ne devait pas se reproduire. Il m’interpella, me rappelant alors que j’étais toujours plantée à un mètre de la porte, comme une potiche, me triturant les doigts. Il m’avait appelée Hatcher, comme il l’avait fait depuis son arrivée à la tête de Ludsen Pharm Inc, ce qui supposait qu’il avait sûrement passé l’éponge sur ce qu’il s’était passé. J’allai m’asseoir, face à lui sur le fauteuil, une pile de dossiers nous séparant. Mon regard se happa au sien, j’étais comme subjuguée. Il détourna le regard avant moi, tout ce temps où il avait soutint son emprise sur moi et où j’avais moi-même préféré baissé les yeux, cette fois, les rôles étaient inversés, il ne pouvait plus me regarder. En un an, j’aurais rêvé de cela, qu'il cesse de me troubler et de me fixer alors qu’il m’ignorait les trois quarts du temps, et aujourd'hui, je désespérais de le voir lever le regard à nouveau. Mais il n’en fit rien et je finis par porter mon intérêt sur la pile de dossier qu’il désignait. Enfin des responsabilités, des vraies. Je me demandais ce qui le poussait à me confier de telles affaires, j’avais même peur que cela n’ait un rapport avec notre partie de jambes en l’air. Mais j’espérais, j’osais croire, qu’il n’était pas comme ces patrons qui couchent avec leurs employés et leur offrent des faveurs en échange. Non, je voulais croire qu’il aimait mon travail et qu’il se sentait assez en confiance. Même si, le fait qu’il se décide à me confier ceci après avoir couché avec moi me faisait tiquer. J’étais bouchée bée, et à la fois, anxieuse, faisait-il cela pour me tester ? Est-ce qu’il essayait de me faire perdre mes moyens, me faire faire une erreur afin d’avoir une raison pour me congédier ? Je n’avais toujours pas prononcé un mot depuis que j’étais entrée dans son bureau, je sentais mes joues me brûler, je devais être cramoisie. J’attrapai la pile de dossiers, touchant en même temps la peau de sa main chaude. J’eus un long frisson, puis fût prise d’une bouffée de chaleur, mon esprit allait exploser à force de bouillir à son contact et aux pensées qu’il provoquait en moi. Me faisant remonter tous les souvenirs de notre nuit ensemble. J’ouvris la bouche, toute retournée, fixant mon regard au sien une nouvelle fois. "Je m’en occupe tout de suite.. monsieur, je suppose que enfin tout doit être traité avant ce.. ce soir ?" je n’avais pas arrêté de bégayer, me donnant un air encore plus stupide. Evidemment, la question était purement rhétorique, pour meubler. Je le regardais, attendant qu’il poursuive, mais il n’en fit rien, je fis mine de me lever, me tournant légèrement à deux pas de la chaise. "C’est tout ce que vous vouliez me dire monsieur Ludsen ?" Je trouvais ça étrange qu’il élude la question de vendredi soir, même si, en soi, il s’agissait sûrement de la meilleure stratégie à adopter. Je remontai les dossiers contre ma poitrine, attendant son feu vert pour sortir de ce bureau. Pour le fuir et fuir les pensées impures que son visage créait en moi.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyLun 1 Déc - 23:08


king and lionheart
ft. Jamie & Bryan
Il ne sait pas comment réagir. Ca ne lui ressemble pas de baisser les yeux, de plier l’échine mais planter son regard dans le siens fait naître des envies qu’il a du mal à contrôler.
Elle et sa robe moulante. Elle et sa robe pulpeuse qui s’agite lentement lorsqu’elle se pose devant lui et qu’elle fait preuve de nervosité. Le problème est qu’elle le connait trop bien après un an passé à ses côtés. Il n’a pas l’habitude de détourner le regard, mais plutôt poser son regard froid directement dans le sien, sans broncher, sans réagir. Faire semblant de la mépriser est plus facile que d’abuser de ses lèvres comme il avait pu faire il y a de ça deux jours. Dans ses souvenirs trônaient encore les effluves de leur ébat qu’il pouvait parfaitement se remémorer en posant ses billes sombres sur elle. C’est la raison qui le poussait à se concentrer sur ses dossiers plutôt que de l’observer, que de l’analyse comme il avait toujours fait.
Ses doigts effleurent les siens sans qu’il ne fasse les efforts pour le faire. Une caresse. Il aimerait ne pas crever d’envie de la posséder, de prend possession de ses lèvres, de son corps, de laisser ses phalanges s’enrouler autour de ses hanches fines parfaitement moulées dans cette robe sombre. Elle attrape les dossiers et il lâche prise. "Je m’en occupe tout de suite.. monsieur, je suppose que enfin tout doit être traité avant ce.. ce soir ?" Cette conversation n’avait pas de sens. Hatcher semble aussi nerveuse que lui, plus maladroite qu’à son habitude. La façon qu’elle a de parler fait naître un sourire sur ses lèvres. Elle est attendrissante et c’est encore plus dérangeant. Attendrisse et terriblement séduisante. Elle se lève, laissant à loisir de sa vue ses formes outrageusement sinueuses. "C’est tout ce que vous vouliez me dire monsieur Ludsen ?"
Il se racle la gorge. Il déteste se sentir aussi impuissant et il se doit de remettre son rôle dans le droit chemin. Sa tête est autre part. Le retour de Bethy, la mort imminente de son père. Les situations s’accumulent et ne font que rendre le trentenaire encore plus indécis, encore plus incapable de se contenter. C’est pour cette raison qu’il lui confiait cette tâche et non parce qu’il avait pu goûter au confort de ses cuisses.

Bryan finit par se lever pour contourner son bureau. Il se traine lentement vers elle, se maudissant mentalement d’avoir entrepris de s’approcher d’elle. Trop tard. Hors de question de reculer. Agir en adulte n’est pas une option. Ses phalanges se posent sur une des épaules de son assistante. Son parfum sirupeux s’introduit en lui, réveillant les pulsions qu’il tente de repousser depuis qu’elle a fait irruption dans son bureau. « Hatcher.» Il relâche son emprise pour qu’elle puisse se tourner vers lui et lu faire face. Son visage reste neutre, parce que ce qu’il va lui dire est d’une importance capitale pour leur futur. Pour que leur relation reste claire et parce qu’il sait avouer qu’elle a du talent. « Ce que je vous assigne n’est pas relié à ce qui a pu se produire vendredi. Je n’ai pas envie que vous pensiez que c’est une faveur que je fais suite à..» Il prend une pause avant de reprendre. « Suite à cette soirée. Ce n’est qu’un coup du hasard. J’ai la tête prise en ce moment et je sais que vous allez vous occuper de ce dossier parfaitement.» Il pousse un soupir. C’est un effort surhumain de lancer un compliment de la sorte et de parler de cette soirée.
C’était une mauvaise idée. Trop mauvaise de s’approcher d’elle de la sorte, de pouvoir la respirer et voir ô combien elle a du mal à retenir son souffle. Comme s’il peut entendre résonner son palpitant qui semble s’emballer. Il sait jouer. Il sait garder cette assurance qu’il maîtrise à la perfection, mais ses pulsions sont incontrôlables.
S’il n’avait pas goûté à ses lèvres, il serait apte à se contrôler. Foutue soirée. Foutue connerie. Il faut qu’il parle, qu’il chasse les images qui se percutent. Elle. Sa robe soulevée contre ses cuisses. Lui, abusant des charmes de son corps. Bryan se sent comme un adolescent au beau de sa puberté, incapable de contrôler ses pulsions. Ca ne lui ressemble pas d’agir de la sorte. Elle a ce quelque chose d’attirant, qui attise indéniablement ses envies salaces à son égard. Son travail à trop d’importance pour qu’il commette trop de faux pas. « Avez-vous quelque chose à dire? Je n’ai pas envie que l’atmosphère reste aussi tendue. Vous êtes une bonne assistante, je n’ai pas envie de vous perdre.» Les mots écorchaient sa gorge. Il se fait violence pour ne pas faire un pas afin de réduire à néant l’espace entre eux. Ses phalanges contre la peau de son visage. Leur souffle se percutant dans un mélange sensuel de ce désir qui les consume. Bryan doit lui faire comprendre que son poste n’est pas en jeu et qu’il apprécie son travail. Il doit se résigner à ne pas flancher. Pas encore.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyMar 2 Déc - 0:01

CREDIT : 50SHADES/TUMBLR

It's what you do, it's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
It's where we go, it's where we'll be
I know if I'm onto you, I'm onto you
Onto you, you must be on to me
My haunted lungs, ghost in the sheets, ☆ beyonce.

≈ ≈ ≈
Il me déboussole, il m'achève, je ne sais plus être forte en sa présence, je ne sais plus respirer correctement, je découvre des terminaisons nerveuses dans mon corps qui se réveillent dont j'ignorais encore l'existence jusqu'à maintenant, pire encore, je ne sais plus penser à autre chose que ses mains sur moi. Ses mains sur moi, ses lèvres explorant les miennes, sa langue fouillant ma bouche, ses assauts terriblement agréables. C'est ce à quoi je pense en m'éloignant, après avoir attendu trop longtemps une réponse qui n'était pas venue. J'avais diablement besoin de sortir de cette pièce, pour mon propre bien, pour ma santé mentale, mais surtout, pour garder cette histoire d'un soir, unique. Je sentis sa main sur mon épaule, mon corps tout entier se stoppa, je cessai même de respirer, me tournant lentement, me retenant de le supplier du regard afin qu'il repose sa main sur moi. Non, cette attirance devait être enterrée, je ne levai pas le regard vers lui. Enfin, il éclaircit la situation. Enfin, il évoqua la soirée de vendredi, cette foutue soirée. Bien entendu qu'il avait la tête prise, avec l'état de santé de son père qui se dégradait et les responsabilités qu'il avait. Je me sentis soudainement idiote d'avoir osé penser qu'il aurait pu être le genre d'homme à donner des faveurs en guise de... récompense au sexe. Il n'était pas une ordure, mais je pensais comme la plus stéréotypée des garces. Je n'arrivais pas à répondre quoi que ce soit, j'étais trop touchée par ce qu'il insinuait, il me confiait ce dossier car il avait confiance en mon travail. Mais également, je ne pouvais répondre car son souffle se répercutait sur mon visage, me renvoyant de plein fouet des images et des sensations de vendredi. Ma respiration était saccadée, je n'arrivais pas à me reprendre, je levai mon regard vers le sien, Dieu qu'il était beau. Je le contemplai, complètement absorbée et incapable à présent de détourner mon regard. J'aurais dû, mais je ne pouvais plus. J'entrouvris les lèvres pour parler, aucun son ne sortit, c'est à ce moment là qu'il m'interpella à nouveau, faisant mine d'avancer mais se retenant. Heureusement, je portais les dossiers dans mes bras, sinon, j'aurais été tentée de tendre la main vers lui pour le rapprocher de moi. Ces dossiers faisaient barrière, entre les quelques pauvres centimètres qui séparaient nos deux corps qui ne demandaient qu'à se retrouver. Son parfum atteint mes narines, je fermai les yeux, secouant la tête. Il était temps que je me reprenne. "Je ne compte pas démissionner, et je suis heureuse que vous ne comptiez pas me virer non plus." Un demi-sourire se dessina sur mes lèvres charnues, je décidai de poursuivre, prise d'une terrible pulsion, d'une impulsive envie de parler, de lui parler. "Je vous remercie pour hum.. ça." dis-je en désignant les dossiers, les faisant bouger contre ma poitrine. Je capture son regard, fixé à l'endroit de mon corps qui venait de se mouver, je réprimai un frisson. Cela aurait pu, et aurait dû, être un frisson de dégoût, face à ce manque de tact de sa part, de discrétion, mais la seule pensée qui me vint fût ce même regard, sur mon corps nu, lui au-dessus de moi. Je me raclai la gorge, il était temps que je fasse preuve de courage, inconsciemment, je fis un pas vers lui. "Vous avez raison, nous nous croisons tous les jours, nous n'avons pas le droit de laisser la situation.. s'empirer." Mais je vis sa main s'approcher de mon visage, et peu à peu, je flanchais complètement, il me rendait folle. Folle de désir. "Je crois que nous ferions mieux d'agir comme si rien ne s'était passé. Et aussi, que nous ferions mieux d'oublier.. tout ça." C'était plus sage. Mais je n'en avais pas la moindre envie. J'essayai de me reculer, mais décidément, je ne maîtrisais plus mon propre corps. "Je vais m'occuper de ces dossiers, vous pouvez, vous.. occuper de vous.." Qu'est-ce qu'il me prenait à vouloir prendre soin de lui ? Il était mon patron et par définition, je n'avais pas le droit de faire de remarque personnelle. Même après avoir goûté à ses lèvres, à son corps. Même après lui avoir laissé la liberté de prendre possession du mien. Je détournai le regard, honteuse, sentant le rouge qui me montait aux joues à nouveau, ou plutôt, ne m'avait-il jamais quitté, mon corps s'était tout simplement engourdi sous son emprise.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyMar 2 Déc - 4:56


king and lionheart
ft. Jamie & Bryan
Ce n’est pas simple de reprendre le contrôle de ses pulsions alors qu’elle laisse traîner son odeur dans la pièce. Alors qu’elle bouge sensuellement sa bouche sous l’hésitation et que le rouge prend possession de sa peau opaline. Près d’elle, il respire son odeur entêtante. Il tente de garder son calme olympien, mais ça n’a rien de facile, rien d’aisé. "Je ne compte pas démissionner, et je suis heureuse que vous ne comptiez pas me virer non plus." Il n’a pas envie de mettre la demoiselle à la porte pour une connerie qu’il avait initiée de son propre chef. Bryan est l’investigateur de ce malaise.
Son esprit embué avait déraillé pour trouver le plaisir de ses lèvres. Cette limite qu’il s’interdisait depuis des années. Depuis un an. Son travail avait trop d’importance pour qu’il pense nuire à ce dernier.
Son esprit déraille encore dans les méandres de cette nuit, incapable de se détacher des images qui se succèdent en boucle contre les parois de son crâne. Pourquoi diable était-il autant attirer par cette brune. Lui qui avait une tendance envers les blondes, les femmes qui faisaient naître en lui le souvenir de sa meilleure amie.
Ce n’est pas le cas de Jamie. Elle ne lui ressemble en rien. Rien de commun, mais elle l’attire indéniablement. "Je vous remercie pour hum.. ça." Sa voix l’interpelle à nouveau, mais son regard est attiré par le mouvement contre sa poitrine. Les feuilles qui se glissent contre le tissu de sa robe noire. Cette robe qui moule parfaitement ses sinueuses formes. C’est indécent ce qu’il fait et il s’en veut terriblement de se comporter de la sorte. Bryan. Lui qui tend à avoir un contrôle indéniable sur sa personne, se retrouve comme un garçon au lycée incapable de contrôler ses pulsions masculines. « Je suis désolé Jamie.» Souffle-t-il.
Il n’en peut plus. De cette ambiance. De cette proximité. De cette attirance. C’est clairement en train de le rendre fou et il ne sait pas quoi faire pour oublier, pour calmer ses pensées. Sa douche froide matinale avait été utile, mais elle n’est pas disponible à ce moment précis.

Il serre les dents. Il se contrôle. "Vous avez raison, nous nous croisons tous les jours, nous n'avons pas le droit de laisser la situation.. s'empirer." Elle a raison, trop raison. Il souffre. Il se consume de l’intérieur et se fait violence pour ne pas attraper ses lèvres, pour ne pas laisser ses phalanges se poser dans le creux de ses reins, glisser vers sa robe pour la remonter contre ses cuisses fermes. "Je crois que nous ferions mieux d'agir comme si rien ne s'était passé. Et aussi, que nous ferions mieux d'oublier.. tout ça." Il soupire. Évacuer cette tension sexuelle serait la meilleure chose à faire et ne pas l’évacuer sur elle serait parfait. « Vous avez raison.» Il n’a plus envie de parler, mais faire sortir Hatcher de son bureau est la solution le plus facile. "Je vais m'occuper de ces dossiers, vous pouvez, vous.. occuper de vous.."
Il n’a rien à ajouter. Rien à dire de plus. Il a largement du mal à se concentrer pour ne pas commettre une autre connerie. Sa main droite se pose dans son dos question de l’inciter à se tourner afin de se diriger vers la porte. Si ce geste avait toujours été anodin, il a l’impression que sa main se consume contre le tissu de sa robe. Il sent sa peau au travers de cette dernière. La pression dans son dos force la jeune femme à avancer avec lui vers la porte. « Je pense que ce sera tout. Faites-moi signe quand les dossiers seront réglés.» Qu’elle foute le camp d’ici. Qu’elle aille se pavaner autre part. La porte approche. La fin arrive, mais il n’a pas réellement envie qu’elle parte. Ses envies sont différentes. Largement différent de ce qu’il tente de faire à son moment précis. Sa main glisse pour atteindre le bas de ses reins alors que ses phalanges libres agrippent la poignée de la porte qu’il n’ouvre pas. Il est derrière elle. Elle peut sentir son souffle chaud contre sa nuque. Elle peut sentir sa présence près de lui, dans son dos, malgré le fait qu’il ne soit pas collé à elle.
Il soupire. Sa main ne quitte pas le creux de ses reins. Son ventre se tord. Ses pulsions se percutent, ses envies le rendent fou. Bryan se mord la lèvre un moment. Il faut qu’il ouvre cette foutue porte et ce calvaire allait s’évaporer, se dissiper. Il allait pouvoir respirer.
Il tourne la poignée, mais il n’a pas calculé le fait qu’elle allait devoir faire un pas en arrière pour ne pas l’avoir en plein visage. Ce pas. Il ne l’a pas prévu est c’est ce dernier qui fait tomber les dernières résolutions du trentenaire. Parce que le corps de la jeune femme se percute au sien, parce qu’il peut sentir les formes parfaites de sa croupe contre son bassin.
Il grogne. Un grognement qu’il ne peut retenir et le PDG referme la porte aussi rapidement qu’il avait pu l’ouvrir. Ses phalanges se posent sur son cou qu’il enlace sans lui faire de mal, la forçant à pencher la tête sur le côté afin qu’il y enfouisse son visage, qu’il laisse ses lèvres goûter à sa peau une fois de plus. Trop tard. Il vient de perdre la tête, de franchir à nouveau cette limite. Sauf que cette fois, l’alcool n’embrume pas son esprit. Il est parfaitement conscient de ce qu’il est en train de faire. Une autre connerie.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyMar 2 Déc - 20:06

CREDIT : 50SHADES/TUMBLR

It's what you do, it's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
It's where we go, it's where we'll be
I know if I'm onto you, I'm onto you
Onto you, you must be on to me
My haunted lungs, ghost in the sheets, ☆ beyonce.

≈ ≈ ≈
Je ressentais ce besoin plus que vital de m'enfuir, de courir, loin de lui, loin de ce bureau, de cet immeuble, de cette ville même. Je voulais me cacher, et ne ressortir que lorsque la tempête qui faisait rage en moi ne se serait calmée. J'avais besoin d'oublier cette attirance irrationnelle et dangereuse. Je connaissais parfaitement le moyen de ne plus y penser, mais je ne devais pas replonger dans cet engrenage. Je perdrais tout, et cette fois, je n'étais pas certaine que je pourrais m'en sortir seule et me reprendre en mains. La meilleure solution était de faire face au problème, à savoir ce magnifique diable tentant qui me faisait face, et de l'irradier. Du moins, irradier l'attirance et les sensations qu'il faisait naître en moi. Depuis combien de temps n'avais-je pas connu cela ? Et surtout, la vraie question était, depuis combien de temps n'avais-je pas eu d'aventure avec un homme ? Très longtemps, trop longtemps. Mais j'ignorais la date exacte d'un tel acte. J'essayais de me rassurer, de me dire que Bryan était le premier homme depuis longtemps, et que ce qu'il faisait naître en moi n'était en fait que la manifestation d'un manque qui se réveillait. Mais en réalité, tout cela n'était que la continuité et l'accentuation de ce que je ressentais avant de goûter au fruit défendu. Tout le monde avait tendance à dire que ce genre d'attirance finissait par s'étioler et faner, que le meilleur moyen de résister à la tentation était d'y céder, mais je n'en ressentais aucun effet. Cela avait plutôt eu l'effet inverse. Désormais, je ne rêvais plus que de recommencer, encore et encore. Une seule chose m'en empêchait, mon travail. Je ne voulais pas risquer de tout perdre pour une histoire de sexe, que cela se sache et que les conséquences soient désastreuses, je ne voulais décevoir personne. Et je me demandais ce que mes parents penseraient s'ils l'apprenaient. Même si j'étais une adulte affirmée et indépendante. Je fus soulagée de constater que le tentant diable se soit raisonné, qu'il soit d'accord avec moi, qu'il souhaite juste me confier un peu plus de responsabilités, et surtout, qu'il veuille me faire sortir de ce bureau. J'avais bien l'intention de passer le plus de temps possible sur ces dossiers, quitte à partir tard ce soir, histoire de ne pas avoir à le confronter à nouveau de si tôt. Je sentis sa main qui s'était calée dans mon dos afin de me guider vers la sortie comme à son habitude - même si j'en connaissais parfaitement le chemin - se déplacer dangereusement au creux de mes reins plus la porte approchait, je devais sortir de là, et vite avant de perdre pied. Il ne me voyait pas, et fort heureusement, mais ma peau s'était enflammée à son contact, je sentais sa main à travers le tissu de ma robe plus que moulante, elle me brûlait, me consumait. Je voulais qu'il ôte cette robe qui faisait barrière entre nos deux peaux. Je me mordis la lèvre, au même moment où nous arrivions enfin à la porte opaque qui m'avait parue si loin depuis qu'il avait posé sa main sur moi. Nous étions immobiles, son autre main agrippa la poignée en métal, j'attendis, mais rien ne se passa. Je sentais son souffle sur ma nuque, me donnant de délicieux frissons, je sentais son parfum, la chaleur de son corps n'était qu'à quelques centimètres du mien, cela me rendait folle. Puis il le fit enfin, il tourna la poignée, me forçant à reculer afin d'éviter de prendre la porte de plein fouet. Ce ne fût pas la porte que je pris de plein fouet, mais plutôt son corps, je ne m'attendais définitivement pas à ce qu'il se trouve si proche de moi. Je perçus un grognement, le même grognement que j'avais déjà entendu deux jours auparavant. Je me faisais violence pour ne pas envoyer valser les dossiers que je tenais toujours fermement contre ma poitrine et me jeter sur sa bouche douce et sucrée. Ses mains se baladèrent dans mon cou, me faisant pencher la tête inconsciemment, je ne contrôlais plus mes gestes lorsqu'il me touchait. Puis je sentis son souffle se rapprocher, je ne compris que trop tard ce qu'il était en train d'initier, ses lèvres dévoraient déjà la peau douce de mon cou, un gémissement s'échappa de mes lèvres, les dossiers tombèrent à mes pieds avec fracas. Je ne m'en étais même pas aperçue, mon corps, mes nerfs, tout mon être avait lâché prise. Je me tournai, brûlante et fondis sur ses lèvres. Cette fois, il n'était pas le seul responsable, j'avais eu le choix de sortir, de reprendre le contrôle, mais j'en avais été incapable. Je lui donnai un baiser fougueux, lui faisant comprendre que cette nuit torride n'avait fait que réveiller encore plus d'envies. Dieu que ses lèvres m'avaient manquées. A cette pensée, je me réveillai, me reculant brusquement et percutant la porte de mon dos. "Je.. m.. Bryan non.. on ne peut pas, pas encore.." Je tentais de reprendre mon souffle, mais mes mains me trahirent, se tendant vers l'objet du désir, accrochant sa cravate et le tirant vers moi. "Je suis votre employée.. on ne doit pas.." Mais cette connerie, cette deuxième connerie, je voulais la faire, je voulais qu'elle se passe, j'en mourais d'envie. Une silhouette apparût derrière la porte, frappa. Ma respiration se coupa complètement, mon regard s'affola, à la recherche de celui de mon patron.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyMer 3 Déc - 17:06


king and lionheart
ft. Jamie & Bryan
Il perd le contrôle de ses sensations, de ses pulsions quand le corps de la brune se heurte au sien alors qu’elle recule pour éviter la porte. Le temps défile. Il ne sait pas. Il ne sait plus ce qu’il est en train de faire ou il le sait parfaitement, trop bien. Bryan crève d’envie de la posséder une fois de plus, il en crève depuis qu’il a pu goûter à la saveur de sa peau. C’est ridicule. Peut-être est-ce dû à la frustration qu’il éprouve depuis le retour de Bethy. Il n’en sait rien, mais au fond, il s’en fou. Le trentenaire a envie de se perdre une fois de plus dans la chaleur de ses cuisses, de se percuter au creux de ses reins. Il sent la peau de la jeune femme réagir, son corps se crisper pour mieux se détendre par la suite. Les dossiers viennent s’écraser sur le sol, mais il ne fait rien, ne pense pas et continue de dévorer cette peau doucereuse qui hante son esprit depuis cette nuit.
La brune finit par se tourner pour lui faire face pour fondre sur ses lèvres. Ses phalanges s’emparent de ses hanches pour presser le corps de son assistante contre le sien. Il dévore sa bouche, percute sa langue dans une danse endiablée contre la sienne. Il n’a que très peu le loisir de profiter de sa bouche qu’elle se percute contre le porte, s’extirpant de son étreinte brusquement. "Je.. m.. Bryan non.. on ne peut pas, pas encore.." Sa mâchoire se serre. C’est déjà trop tard de toute façon on peut-être avait-elle raison. Il n’en sait plus rien. Il sent le désir prendre possession de son être, le réduire à néant. « Jamie..» Bryan allait parler, mais les phalanges de son assistante attrapent sa cravate et il s’approche d’elle à nouveau, laissant la paume de sa main enrober une partie de son visage. "Je suis votre employée.. on ne doit pas.." Il s’approche. Un peu trop près. Leur souffle se mélange sensuellement. « Je sais.» Bryan le sait, mais il s’en fou complètement. Il a le droit de faire ce que bon lui semble. Elle n’a rien à perdre tant que le bruit ne se fait pas entendre.

Il s’apprête à prendre possession de ses lèvres, mais il aperçoit une silhouette passer derrière la porte et asséner quelques coups à la porte. Ses sens sont en alerte, il doit réagir rapidement. Un pas en arrière, il entraîne la jeune femme avec lui dans sa démarche et se penche pour ramasser les quelques dossiers. Son envie le rend dingue. Il replace sa cravate et ouvre la porte, son air serein posé sur son visage. « Oui?» Son assistante se dessine devant ses yeux. Elle ne doit pas savoir, elle est surement celle qui a tendance à parler le plus dans ce bureau, mais ça n’affecte pas le fait qu’elle fait bien son travail. « Monsieur, vous avez quelqu’un qui désire vous rencontrer, mais il n’a pas de rendez-vous. Est-ce que vous voulez que je le fasse monter?» Il se racle la gorge et passe une main dans ses cheveux. La secrétaire affiche un drôle d’air en les voyants, mais quand il reprend d’une voix froide, elle vrille ses yeux dans ceux de Bryan. « Je suis occupé, mademoiselle Meyers, nous sommes dans une réunion importante. Il serait préférable d’appeler la prochaine fois.» Elle a envie de dire quelque chose de plus, mais le regard noir de son patron lui donne froid dans le dos. Il ferme la porte sans bouger, sans penser, sans être capable de savoir ce qu’il doit faire. Bryan sait ce dont il a envie, parce que ça le ronge et c’est en train de le rendre fou.
Il pose son front contre la porte un moment, plongé dans ses pensées, tentant de reprendre le contrôle sur cette foutue situation qui ne fait que dégénérer. Un soupir. Un soupir et il finit par se retourner vers elle pour vriller ses iris dans le fond des siens. Il pose le dossier qu’il avait entre ses mains quelques instants plus tôt et s’approche d’elle à nouveau pour poser lentement sa main contre son visage. Sa main qui englobe une bonne partie de sa peau. Il s’approche d’elle, assez pour qu’elle recule et se heurte au mur le plus près. Il ne l’embrasser pas. Il ne fait rien d’autre que se coller à elle. Le brun sent les formes parfaitement sculptées de la brune contre son corps et l’envie monte rapidement. C’est une connerie, mais il n’est pas capable de repousser ses pulsions. « Ça serait plus sage que tu quittes mon bureau, maintenant. Parce que je ne pense pas que je pourrai me retenir Jamie.» Un souffle. Un aveu. Leur respiration qui se mélange. L’odeur de la jeune femme qui se percute dans le fond de son crâne. Son envie qui se fait un peu plus présente et qu’elle pourra clairement finir par ressentir. Sa main libre se pose contre la peau de sa cuisse qu’il palpe lentement, remontant le tissu de sa robe dangereusement. Elle peut encore le repousser. Foutre le camp et mettre un terme à tout ça, mais lui n’a pas envie de s’arrêter.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyMer 3 Déc - 23:47

CREDIT : 50SHADES/TUMBLR

It's what you do, it's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
It's where we go, it's where we'll be
I know if I'm onto you, I'm onto you
Onto you, you must be on to me
My haunted lungs, ghost in the sheets, ☆ beyonce.

≈ ≈ ≈
Je me perdais complètement, ses lèvres m'enivraient, sa langue se mêlant à la mienne me rendait folle, son corps qui se moulait parfaitement au mien me donnait encore plus chaud, je rêvais d'envoyer balader nos vêtements et me jeter un peu plus sur lui que je ne l'avais fait. Depuis samedi matin, mon corps tout entier était sur le qui vive, à l'affût du moment où mon corps pourrait retrouver le sien, depuis samedi matin, mes lèvres réclamaient les siennes. Maintenant qu'elles étaient satisfaites, j'avais décidé de mettre fin à notre baiser, sentant tout mon être en demander plus. Ma raison me guidait encore un peu, mais pour combien de temps ? Elle m'avait déjà faite défaut quelques secondes auparavant, sous la chaleur influente de ses baisers et de ses caresses. Il prononça mon prénom, ou tout du moins, le premier du composé en entier. Je recommençais à lâcher prise, lui s'approchant à nouveau, son souffle se mélangeant au mien, nos regards enflammés s'appelant, et mon prénom sur sa langue... Mais alors qu'une autre étreinte se dessinait à nouveau, une silhouette apparût derrière la porte, puis frappa, nous décontenançant complètement. Il ne me laissa le temps de rien, il attrapa ma main et me fit reculer avec lui, alors que j'allais me baisser pour ramasser mes dégâts, il le fit à ma place. Je décidai alors d'en profiter pour rafraîchir mes joues, remettre de l'ordre dans ma tenue froissée par nos corps-à-corps, et arranger ma chevelure qui s'était tout aussi électrisée que mon épiderme. Il ouvrit la porte, sereinement, retrouvant son masque de froideur et de dureté. La secrétaire. En l'entendant parler d'une visite inattendue, je ne pus m'empêcher de m'angoisser, me dire qu'elle avait sûrement essayé de me joindre à mon bureau afin que je ne prévienne moi-même si le patron était à même de le recevoir ou non. En ne m'ayant pas eu au téléphone, elle avait sûrement était voir à mon bureau directement, ce qui l'avait menée jusque là, je supposais. Fouine qu'elle était, je pouvais voir sur son visage l'interrogation très marquée de ma présence dans le bureau du PDG, alors que j'aurais déjà du me trouver à mon bureau à l'heure actuelle, comme toujours. Elle nous détailla du regard, semblait stupéfaite et se poser des questions, pourquoi étais-je debout ? Pourquoi Bryan avait-il ouvert la porte lui-même sans lui dire d'entrer ? Toute cette situation était plus qu'étrange. Suspecte, même. Son regard se balada de lui à moi, je lui fis un sourire entendu, formel, mais aussi froid, qui avait pour sous-entendu de lui dire de se mêler de ce qui la regardait et surtout, de retourner poser ses fesses sur sa chaise. Bryan referma la porte, ce qui eut pour effet de me donner un sourire satisfait. Je me comportais comme une vraie gamine en sa présence, une adolescente dans ses prémices de relations amoureuses. Même si les sentiments n'étaient pas de vigueur entre nous. Je ne savais trop où tout cela nous mènerait, mais je ne devais pas tomber amoureuse de lui. L'attirance physique était déjà de trop, je n'avais pas besoin de ça en plus. J'aurais bien plus à y perdre qu'un travail. Il était toujours immobile près de la porte, et moi, mon regard rivé sur ses fesses qui étaient parfaitement dessinées et moulées dans ce costume saillant. Il était parfait. Quand il se tourna enfin, je ne vis que le désir et beaucoup de douceur, mélangée à de l'ardeur, dans son regard, il posa les dossiers que j'avais laissé tomber sans vraiment m'en rendre compte, et posa sa main sur mon visage, je ne pus m'empêcher de pencher la tête afin de sentir son contact un peu plus sur ma peau opaline. Il s'approchait de plus en plus, me faisant reculer, jusqu'à ce que le mur ne m'arrête, j'eus un petit sursaut de surprise puis fus prise d'un vertige en sentant son corps si près mais ses lèvres si loin, je le voulais, entièrement. Je devinai un début de désir encore plus fort en lui, ce qui me fit rougir de plus belle. Il ouvrit la bouche, je mis quelques secondes à comprendre ce qu'il venait de dire, tant il m'hypnotisait. Je ne voulais pas partir, je ne voulais pas le quitter, je ne voulais pas arrêter de le toucher, je ne voulais pas perdre le contact de sa peau, de ses iris parfaits. J'en étais incapable. Et pourtant, c'était sûrement la chose la plus raisonnable, même si la connerie était déjà faite. Ici, au bureau, c'était bien trop dangereux. Mais le danger m'attirait de plus en plus ces derniers temps. Je remarquai alors qu'il m'avait tutoyée, c'était nouveau, ça aussi. J'aimais ça, j'aimais toutes les formes de proximité avec lui. "Ce serait plus judicieux.." Je ne le touchais pas, mais il se fit encore plus proche, sa main se baladant sur ma cuisse, me brûlant la peau. Pire encore, il remontait désormais le tissu de ma robe qui moulait mes courbes. "Je n'ai plus envie, de partir. Je ne veux pas, Bryan." Les mots étaient sortis tout seuls de ma bouche, mais je n'étais pas surprise, je ne pouvais plus lui résister, tout mon être me criait de céder à ce bien-être et à ce plaisir qui se dessinait. "Je te veux." J'attirai instantanément son corps plus contre le mien encore, m'agrippant à sa nuque, en défaisant déjà le nœud de sa cravate. J'abandonnais la partie, la raison avait perdu.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyJeu 4 Déc - 3:58


king and lionheart
ft. Jamie & Bryan
La porte se ferme et il se perd une fois de plus dans cette envie qui le possède depuis deux jours, dans cette hargne qu’il peine à contrôler dont elle est l’investigatrice. À croire qu’il ne rêve que de foutre sa vie en l’air depuis quelque temps. Bryan n’a pas envie de penser. Il sait que c’est risqué de s’adonner à ce genre de plaisir dans le cadre de son travail, mais il n’en a plus rien à faire. La tentation est trop grande et la force de son esprit trop faible. Il se demande si cette histoire va s’éterniser. Au fond de lui, il sait parfaitement que ce n’est qu’une foutue connerie, puisque cela risque d’envenimer leur relation. La tension. Les malaises.
Il s’en fou. Sa main se plaque contre son visage, son corps se colle contre le sien et retrouve ce confort diablement tentant. Il se penche pour parler contre ses lèvres, pour sentir le souffle saccadé de la belle se percuter contre la peau de son visage. "Ce serait plus judicieux.." En effet. Ca serait la meilleure chose à faire. Ses phalanges palpent sa peau, la torture un instant, faisant remonter dangereusement le tissu contre le galbe de ses cuisses. "Je n'ai plus envie, de partir. Je ne veux pas, Bryan." Il ne manque pas un mot de ce qu’elle lui lance. Byran n’est pas le genre d’homme à forcer, ni abuser de son pouvoir, juste que Jamie lui plait, un peu trop même. "Je te veux." Les mots fatals qui se heurtent dans le fond de son crâne. L’envie se fait ressentir et se fait sentir dans son bas-ventre. Son assistante peut être témoin de ce désir qui s’étend, se dresse et prend de la place dans ce costume étouffant. « C’est réciproque.» Il lâche sa cuisse pour retirer son veston qu’il laisse tomber par terre derrière lui, sa cravate se retire et ses lèvres reviennent prendre possession des siennes. Baiser brûlant, ardent de ce désir qu’il peine à contrôler.
Ses phalanges s’attardent sur ses cuisses et il attrape la jeune femme pour la remonter contre le mur, afin qu’elle passe ses jambes autour de sa taille. Bryan crève d’envie de la posséder, maintenant, là. Sans ménagement. Il a tendance à être dominant, possessif, surtout quand ce foutu désir le rend complètement fou, qu’il perde le contrôle. Ses lèvres quittent les siennes un moment pour partir explorer la peau de son cou dont il se délecte lentement, laissant sa langue y traîner ainsi que ses dents pour la marquer, pour la sentir se tendre contre son bassin.

C’est mal. Il le sait. Il sait que ça risque de foutre en l’air leur relation, de dégénérer encore plus que ce moment, qu’un autre froid. Elle lui plait. C’est indéniable. Au point de s’enticher d’elle? Surement pas. Il n’y a qu’une seule femme capable de faire battre son cœur et c’est surement ce qui rend la chose encore plus complexe. Le fait qu’il éprouve du respect pour Jamie et qu’il ne ressente pas l’envie de la jeter comme un objet. Parce que ce n’est pas ce qu’elle méritait. Une de ses mains, qui se trouvait sous sa croupe, s’attarde à remonter la robe contre ses cuisses, en dévoilant bien plus qu’il ne devrait en voir.
Qu’importe.
Il abuse de ses lèvres une fois de plus avant de la tenir contre lui pour se diriger vers son bureau. Heureusement qu’il se trouve à l’étage supérieur du building et qu’il soit isolé, avec celui de Jamie. Le corps de la jeune femme se percute doucement contre le bois froid de son bureau. Des papiers foutent le camp contre le sol, des crayons. Le bordel. Le foutu bordel. Son front se pose contre le sien alors qu’il empoigne doucement sa poitrine en se positionnant entre ses jambes. Il se veut terriblement. D’agir comme un animal. De n’user que très peur de tendresse, mais c’est là tout l’excitant de la chose et le fait qu’ils ne devraient pas s’adonner à ce genre de plaisir sur son bureau. Il n’allait pas pouvoir se concentrer pour les semaines à venir. Mauvaise idée. Ses iris sombres se vrillent dans ceux de la jeune femme, sa main libre caresse doucement sa joue pour poser quelques baisers volatiles contre ses lèvres charnues. Lèvres dont il a du mal à se détacher depuis tout à l’heure. Il vient à nouveau se perdre dans son cou, y posant quelque baiser avant de souffler d’une voix rauque. « J’ai envie de toi.» Elle peut le savoir et dame nature sait qu’il n’est pas mal choyé.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptySam 6 Déc - 0:34

CREDIT : 50SHADES/TUMBLR

It's what you do, it's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
It's where we go, it's where we'll be
I know if I'm onto you, I'm onto you
Onto you, you must be on to me
My haunted lungs, ghost in the sheets, ☆ beyonce.

≈ ≈ ≈
Je ne savais plus quoi faire, devions nous continuer ? Je venais de lui avouer que je le voulais, je venais de céder définitivement, lui dire que je ne voulais plus partir. Mais je n'avais pas réfléchi à la suite, après une autre partie de sexe, le malaise se ferait plus prononcé, car cette fois, il n'avait pas bu, nous étions tous les deux tout à fait conscients de ce que nous faisions, et surtout, après une deuxième fois, cette relation strictement professionnelle et très froide que nous entretenions auparavant allait devenir beaucoup plus intime. Cela avait déjà commencé, le tutoiement, nos prénoms, les prises d'initiatives de ma part. Nous étions deux adultes consentants, responsables - quoique peut-être pas après ça - mais nous nous engagions sur une route bien sinueuse que nous n'étions pas sûrs de pouvoir contrôler. Bien que, pour l'instant, la seule chose que nous contrôlions était le secret, le reste partait dans tous les sens, nous nous laissions guider par nos pulsions, par nos envies et nos corps respectifs qui s'appelaient à en perdre haleine. Si j'étais inconsciente ? Peut-être un peu, mais je n'avais rien calculé, rien prévu de tout cela, et au fond, j'aimais ne rien prévoir, ne pas avoir le contrôle, juste vivre. Cela me faisait du bien de lâcher prise pour une fois. Avant même que je n'ai pu dire quoi que ce soit, Bryan envoya valser sa veste, dévoilant un peu plus ses épaules musclées sous sa chemise impeccablement cintrée. Il était vraiment très attirant, superbe même, quelque chose en lui m'empêchait de me concentrer, de penser correctement. Ce même quelque chose qui désormais allumait un brasier en moi, réveillait tous mes sens et faisait naître des sensations sur mon épiderme que je n'avais jamais connues jusque là, jusqu'à lui. Il m'attrapa et me hissa contre le mur, ne faisant qu'accroître mon désir, j'enroulai mes jambes autour de ses hanches, je penchai la tête en arrière en sentant ses lèvres se délecter de ma peau, je gémis même lorsque je le sentis me marquer, me tendant contre lui, collant un peu plus mon bassin au sien. Désormais, ma robe n'en était presque plus une, encore un geste et elle me servirait de tee-shirt, il le comprit bien vite et dévoilant mon tanga, me laissant à moitié nue devant lui, mais si cela avait pu me gêner pendant quelques instants vendredi soir, désormais, j'étais plus qu'à l'aise, pire encore, j'étais désireuse qu'il en voit plus. Il me porta jusqu'à son bureau, ses mains faisant voler les feuilles s'y trouvant, les miennes poussant violemment les pots à crayons, les cadres, tout. Ce bureau n'était plus qu'un dommage collatéral de notre fougue et de notre envie folle l'un de l'autre. Ce bureau, je n'allais plus pouvoir y entrer et le voir de la même façon, je ne pourrais plus penser à cet apaisement qu'il m'apportait, car désormais il signifiait une toute autre chose. Il était témoin de notre désir fulgurant. Il recommença à goûter mes lèvres, à redescendre dans mon cou, Dieu que j'avais envie de lui. Et je ne tardai pas à m'apercevoir que c'était tout à fait réciproque, je le savais, mais à présent, je pouvais le voir, ou plutôt le sentir. Son entrejambe qui se percutait entre mes cuisses me rendait folle, j'avais envie de lui arracher ce pantalon désormais trop serré et de pourvoir profiter de son ardeur. Je perdais la tête, mais j'aimais ça. Il m'avoua d'une voix terriblement irrésistible avoir envie de moi, mais je le savais déjà, son corps l'ayant déjà trahi. Je me mordis la lèvre, l'attirant plus à moi. "Là ? Ici ?" C'était stupide, nous n'allions définitivement pas sortir de ce bureau dans nos états pour trouver un endroit plus adéquat. Qui plus est, le faire ici m'excitait terriblement, je ne me demandais plus si quelqu'un pouvait entrer, je m'en fichais. Je me redressai légèrement et défis la ceinture de son pantalon de smoking, puis le bouton, défaisant sa chemise rentrée à l'intérieur, glissant mes mains sur son bas-ventre et ses abdominaux délicatement dessinés. Je le vis tourner la tête en direction de la porte, peut-être était-il plus raisonnable que moi au final. La phrase qui m'échappa me surpris un peu plus sur l'effet qu'il avait sur moi. "On s'en fout, personne ne va rentrer, c'est pas comme s'ils s'en doutaient pas." J'étais essoufflée et parlais d'une voix saccadée, j'attirai ses lèvres aux miennes une nouvelle fois, les dévorant, mêlant nos langues, j'étais brûlante de désir pour lui, et complètement irresponsable. Certes, le fait que je reste dans ce bureau si longtemps était louche, et j'espérais sincèrement qu'il était insonorisé, ou que Bryan capturerait mes lèvres, le contrôle n'étant plus de mise avec lui.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptySam 6 Déc - 4:59


king and lionheart
ft. Jamie & Bryan
Foutue connerie de merde. Comment peut-il agir de la sorte. Il n’a pas la moindre envie que ça finisse par se faire savoir, parce qu’il n’a pas envie que les gens portent des jugements sur la jeune femme. Elle ne le mérite pas. Elle est à ce poste parce qu’elle est compétente et il sait ô combien les gens aiment poser des rumeurs. Ça le rend complètement fou. Il est pourtant incapable de penser correctement, il n’arrive qu’à imaginer son corps contre le sien, son être à même de retrouver cette chaleur moite et terriblement délicieuse. Ça le hante depuis deux jours et céder à ses pulsions est une mauvaise idée. Byran le sait. Ça risque de rendre leur relation encore plus complexe, mais il s’en fou.

La sensation du corps de Jamie contre le sien est en train de le réduire à néant, ses pensées se percutent sans pour autant être cohérentes. Son corps parle. Son envie le prend de part en part. Ses mains redécouvrent son corps une fois de plus et lorsqu’elle se percute sur le bureau, il lâche un grognement léger. Le bureau est loin du reste. Ils ne risquent pas de se faire entendre, mais il faut quand même user de prudence. C’est un risque. Un gros risque à prendre de la prendre sur ce bureau. Il y passe la majeure partie de ses journées et il allait se souvenir de ce moment en posant ses iris aciers sur bureau. Bordel. Connerie. Ses phalanges s’attardent à remonter sa robe pour ne plus qu’elle l’empêche d’atteindre l’objet de ses désirs. Elle l’attire à lui. Il ne contrôle plus rien. "Là ? Ici ?" Où d’autres. Il se voit mal sortir avec Jamie dans les bras pour se rendre à la salle de bain ou la voiture. Les gens viennent rarement dans son bureau. Il lâche un soupir. Pas parce qu’elle l’emmerde, c’est loin d’être le cas, mais parce que la situation l’emmerde. Bryan hausse les épaules. Il n’a pas envie de sortir. Ni de se rendre autre part parce qu’il a envie d’elle, maintenant. C’est stupide. Très stupide. « On a pas vraiment le choix.» Un souffle. Ses lèvres effleurent les siennes. Ce n’est ni romantique, ni tendre, mais particulièrement intense et passionnel. Ce n’est que les pulsions qui les guident à ce moment précis. Les mains de Jamie le rendent fou, encore plus qu’il ne l’est déjà. Dans un élan de conscience, il lance un regard sur la porte. Il allait parler, mais la voix de la jeune femme le sort de sa contemplation. "On s'en fout, personne ne va rentrer, c'est pas comme s'ils s'en doutaient." Elle reprend ses lèvres d’assaut et il répond à ce baiser. Une main passe derrière sa nuque alors qu’il reprend place contre elle. Ses phalanges encore libres s’attardent à retirer ce bout de tissu qui le gêne, qui l‘empêche d’agir à sa guise.
Sa langue caresse la sienne. Son souffle se perd contre ses lèvres entre les baisers. Il n’a pas envie d’attendre. Il crève de prendre possession d’elle, là. C’est pas comme s’ils avaient le temps de s’attarder sur les préliminaires pendant des heures. Ses doigts s’attardent pourtant entre ses cuisses pour la sentir se tendre sous lui, pour allumer son corps un peu plus qu’il ne l’est déjà. Il crève d’envie. De ce désir qui le rend fou. Son cœur se percute contre son torse avec force. Il n’a plus la moindre notion du temps ou de ce qui est mal. Bryan rompt le baiser, laissant ses lèvres se perdre dans son cou une fois de plus. Il n’en peut plus d’attendre et le temps les presse. Il a des rendez-vous et un tas de choses à s’occuper.
Coucher avec son assistante n’était pas prévu à son programme de la journée.
La dernière barrière entre leur corps se rompt. Son pantalon file sur le sol, ainsi que le reste qui l’empêchait de se glisser entre ses cuisses. Sa chemise glisse à moitié contre ses bras, mais il s’en fou. Ses phalanges s’attardent contre ses hanches pour la ramener sur le bord du bureau afin qu’elle passe ses jambes autour de sa taille. Il se penche sur elle, prenant ses lèvres d’assaut tout en se glissant entre ses cuisses, dans cette chaleur étouffante et largement agréable. Son corps se tend. Il ravale un grognement puisque ses lèvres s’attardent contre celle de Jamie. Il ne peut pas se permettre de s’époumoner et elle doit fait la même chose que lui. Ils ne sont pas dans son appartement, mais dans son bureau. Son bassin se met lentement en mouvement, dans un plaisir non dissimulé. Le trentenaire s’approprie son corps, en se fondant à son rythme pour qu’elle en tire autant de plaisir que lui. C’est un connard. Il abuse des femmes. Il ne s’attache plus, mais il n’est pas un connard égoïste. Il a envie de la sentir se tordre de plaisir.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩

Anonymous
Invité
Invité

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  EmptyMar 16 Déc - 0:08

CREDIT : 50SHADES/TUMBLR

It's what you do, it's what you see
I know if I'm haunting you, you must be haunting me
It's where we go, it's where we'll be
I know if I'm onto you, I'm onto you
Onto you, you must be on to me
My haunted lungs, ghost in the sheets, ☆ beyonce.

≈ ≈ ≈
J'étais en train de déconner à nouveau, je le savais. Je m'étais promise d'arrêter les conneries, de me concentrer sur ma raison, sur mon travail, ma carrière, atteindre mes objectifs. Et parce qu'une fois de plus j'étais incapable de résister à la tentation, j'allais finir par tout perdre. Ce n'était pas encore concret, mais cela finirait par arriver, cela ne faisait aucun doute. Je m'étais débarrassée de la drogue, la bannissant de mon organisme, de ma vie. Et voilà que je replongeais, dans un pêcher moins mortel, moins nocif pour la santé, mais clairement mauvais pour ma raison. Bryan allait devenir ma nouvelle addiction. Et c'était mauvais, très mauvais, parce qu'il n'existait pas de cure pour ce genre de chose. Allongée sur son bureau, plus aucune pensée ne m'arrivait au cerveau, je ne réfléchissais plus, et Bryan avait sûrement dû le remarquer par la stupidité de ma remarque, il souffla, chose que je pris un peu personnellement, mais j'étais bien trop absorbée et subjuguée pour lui en tenir compte et me renfrogner. Non, je le voulais, et rien ne pouvait plus se mettre en travers de cette idée. Son corps qui jusque-là avait été trop distant du mien me revient, je gémis, désireuse d'en avoir. Il me rendit mon baiser avec fougue, ardeur, et surtout, beaucoup de hâte. Je pouvais sentir toute l'impatience dans ses baisers, dans ses gestes, je n'étais plus la seule à ne plus être moi-même et à me laisser contrôler par mes pulsions, nos deux corps s'attiraient frénétiquement, au point de nous rendre fous. Ses mains glissaient sur moi, remontant ma robe bien trop moulante, je m'en rendais compte maintenant, au fond, pour une premier jour depuis notre connerie, je l'avais clairement allumé. Inconsciemment. Cette fois je ne le cachais plus, je n'étais plus aussi hésitante que vendredi soir, je n'avais plus peur qu'il ne me vire, je n'avais plus peur d'être audacieuse. Je n'avais plus peur de me laisser vivre. Il me faisait du bien, tellement de bien, mon être entier me brûlait, je pouvais sentir sa fougue encore un peu plus, il descendait dans mon cou et je savais que la libération ne tarderait pas, je gémis une fois de plus, frissonnant en le sentant baisser son pantalon et décaler mon tanga, je pouvais à nouveau sentir tout l'effet que je lui faisais, c'était très plaisant. Une fois en moi, ses mouvements lents me donnèrent déjà des sueurs, très chaudes. "Oh bord.." et il captura mes lèvres, je l'en remerciai intérieurement, et il était très prudent, chose que je ne savais plus faire avec lui. A part lorsque j'avais risqué ma vie avec les dealers et à me détruire la santé, je n'avais jamais été aussi peu prudente et aussi si peu prévenante, je vivais et bon dieu que c'était bon. Se laisser aller, ne plus penser, c'était ce que j'aimais avec lui. Et pourtant, j'y goûtais seulement, mais j'y prenais clairement goût. Il m'embrasait, j'étais brûlante, de bien-être, et il ne tarderait pas à me libérer complètement. Une chose était sûre, il n'avait jamais été le plus expansif des patrons, bien que très compétent et respectueux, mais il était un très bon amant. Je mordillais ses lèvres, étouffant mes gémissements et autres manifestations du plaisir intense qu'il me donnait. Ses coups de reins s'intensifiaient, se faisaient plus forts et plus rapides, ses mains s'agrippaient fermement à mes hanches, je n'étais plus. Je me crispais de plus en plus, sentant qu'il allait me faire atteindre le paroxysme du plaisir, je le mordais bien plus fort désormais, atteignant la limite. Il l'atteignit quelques secondes plus tard, dans un grognement contre mes lèvres, emprisonnant mon corps une dernière fois. J'étais essoufflée, ma tête me tournait, ou était-ce juste la passion qui retombait. Nous venions de recommencer, et quelque chose me disait que cela ne serait pas la dernière fois, j'étais bien trop faible en sa présence, il avait la main sur moi, je n'étais plus. Je mis quelques secondes à réaliser que nous venions de le faire sur son bureau, dans une pièce cette isolée du monde mais appartenant aux locaux de la compagnie. Grosse connerie.
Revenir en haut Aller en bas

WELCOME TO BRISBANE ৩


Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}    hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

hot/king and lionheart. {bryan/jamie-jane}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» no short cut ❉ jamie-jane/beatriz/emrose
» family issues. {zéphyr/jamie-jane}
» not a day like any other day ❉ andrew/bryan/georgie/zoé
» the things we lost in fire. (bryan)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
upside down :: 
05 - a small escape
 :: Ashes & Dust :: ancient history
-